TPE FEMINISME

Le féminisme vise l'extension des droits des femmes dans la société. Ce sont des efforts faits pour donner aux femmes un statut identique à celui des hommes, du point vue juridique, économique et social. Il est reconnu depuis 1968. C'est à ce moment que l'on a officialisé les inégalités des femmes face aux hommes. Mais étant donné que le féminisme est mis en place depuis 40 ans en France, comment se fait-il que l'égalité entre les hommes et les femmes ne soit toujours pas totale aujourd’hui ? Nous répondrons à cette problématique en montrant, tout d'abord, le semi-échec du féminisme face aux inégalités. Dans un second temps, nous verrons le maintien et les facteurs de persistance de ces inégalités dans différents domaines. Enfin, nous nous interrogerons sur les nouveaux moyens mis en oeuvre aujourd'hui pour réduire ces écarts

Différentes femmes ont aidé à l'avancée du féminisme. Cela remonte au XVIIIe siècle. Plusieurs d'entre elles sont des femmes de lettres telle que Olympe de Gouges (1748-1793), auteur de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Elle a laissé de nombreux écrits relatifs aux droits civils et politiques des femmes. Celle-ci est devenue l'emblème des mouvements pour la libération des femmes.
Flora Tristan (1803-1844) est considérée comme une des premières féministes, écrivaine, ouvrière militante, fille rejetée, mère battue, elle semble avoir vécu et couvert toutes les facettes de la condition féminine dans ce qu'elle a de plus dur. Elle apparaît de nos jours comme une figure majeure des luttes pour la condition féminine partout dans le monde.
Plus récemment, Élisabeth Badinter (1944- ), écrit en 2003 Fausse Route, qui critique les nouvelles lois quant à la parité politique ou le traitement des crimes et délits sexuels.
Certaines sont , comme (1864-1936), elle fonda le journal La fronde, en 1896, celui-ci journal l'envoie au Congrès féministe international. Il va par la suite bouleverser sa vie car elle décide dorénavant de se consacrer à la défense des droits de la femme.
Louise Weiss (1893-1983) est une autre journaliste; qui va s'engager dans le combat féministe et devenir militante pour le vote des Françaises, elle fonde l'association « la femme nouvelle » qui comptera plusieurs dizaines de milliers d'adhérentes.
Françoise Giroud (1916-2003) , journaliste également, est engagée comme directrice de rédaction pour la création de « ELLE », alors magazine moderne et féministe. Elle devient secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée de la condition féminine, où elle lance « cent une mesures » en faveur des femmes.  
Au XXe siècle, Simone de Beauvoir, théoricienne importante du féminisme ayant participé au mouvement de libération des femmes dans les années 1970, publie en 1949 Le deuxième sexe, mais il fut critiqué, notamment par François Mauriac qui écrira « à présent, je sais tout sur le vagin de votre patronne », Beauvoir devient la figure de proue du féminisme en décrivant un société qui maintient la femme dans une situation d'infériorité, son analyse de la condition féminine fait scandale, tout particulièrement le chapitre où elle parle de la maternité et de l'avortement, assimilé à un homicide à cette époque.
Pour finir, Simone Veil (1927- ), femme politique française, fait adopter la « loi Veil » alors qu'elle est ministre de la santé, promulguée le 17 janvier 1975, dépénalisant le recours par une femme à l'interruption volontaire de grossesse.
Toutes ces femmes ont fait avancer le féminisme par un moyen ou un autre, mais elles ne sont pas les seules, certains mouvements ont aussi mis leur pierre à l'édifice.

On peut se demander ce qui pousse certaines femmes, qui se proclament haut et fort féministes, à se soucier, sous couvert de prétendue rigueur scientifique, des « déroutes » masculines. Au détriment de la misère et du désespoir de la majorité des femmes dans le monde. Ignorent-elles l’écrasant rapport de forces, de dominant à dominé, entre hommes et femmes ? Cette relation socio-économique qui fait des femmes la majorité des chômeurs, des smicards, des travailleurs à temps partiel (dans ce ghetto de l’emploi, 83 % de femmes), des titulaires de contrat à durée déterminée (60 %), des grandes discriminées à l’embauche, à la promotion, des absentes de la direction des grandes entreprises ? La pauvreté (80 % de femmes) et leur précarité ?

FEMME EST FEMMES

Les artistes expriment une vision de la société et des possibles futurs à travers leur yeux observateurs, les stéréotypes sont toujours présent cependant ils ont changés,nous nous attaquerons au sujet des femmes, plus particulièrement à leur place dans la société et non pas à travers les yeux d'artistes banales mais à travers des artistes et intellectuelles féministes.
L'espace ouvert par les artistes est capital quel que soit le milieu où leurs arts et leurs intellects sont utilisés.
Différentes femmes ont aidé à l'avancée du féminisme tels que Gisèle Halimi, une militante féministe et femmes politique, Elisabeth Badinter,femme de lettre et surtout connu pour ses reflexions philosophique qui interrogent le feminisme, Françoise Héritier scientifique féministe et Louise Bourgeois plasticienne issu du mouvement féministe.
Ces artistes et intellects ont toutes à leur façon véhiculer des idées et des vérités sur la place de la femme dans la société,quels sont elles ?
Nous nous demanderons alors que nous disent les femmes artistes et intellectuelles féministes sur la place des femmes dans la société ?

Comment considérer la femme dans notre société ? La question peut surprendre de par sa naïveté. En effet, qui ne dirait pas que la femme doit avoir une place égale à celle de l'homme dans la vie sociale ? Ce que chacun défend dans ses dires, chacun les dénis dans ses actions.
La femme a toujours, dans quelque civilisation que ce soit, été dominée par l'homme. Nous assistons au retour d'un esclavage insidieux : la femme tend à imiter l'homme par le travail. Le travail confère l'autonomie financière à la femme depuis 1940, date à laquelle elle fait apparition dans un monde jusqu'alors réservé aux hommes. Diverses exemples permettront de démontrer la suprématie de l'homme :
- L'inégalité de salaire qui peut exister entre les hommes et les femmes pour un travail donné. D'une manière assez surprenante, nous constatons que la loi elle-même justifie cet état de fait. En fixant le salaire en fonction de l'expérience de l'individu et du travail effectué, il est clair qu'elle permet une inégalité de traitement : qui en effet possède exactement la même expérience ?
- La Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen mettait de côté deux catégories de personnes : les femmes et les noirs.
La loi sur les congés parentaux est destinée aux couples pour leur permettre d'élever leurs enfants. Or, ces congés sont quasiment tous refusés aux hommes selon cette idée que ce doit être la femme qui doit prioritairement éduquer les enfants.
Notre langue, enfin, véhicule la domination masculine. Cela peut paraître anodin, mais il est un fait que le masculin est le dominant du féminin…
La femme est passée du statut de fille à celui de mère. Elle entend maintenant qu'on lui lui reconnaisse un statut de femme, autant dire d'un individu à part entière.
Et cela est fondamental. La différence entre les individus constitue un gage de bonne santé d'une société. Elle lui permet de sans cesse évoluer et d'être de plus en plus créative. Or, la tendance des femmes au mimétisme sur l'homme est préoccupante. La famille et l'éducation sont en perte de vitesse et cette dernière ne permet plus d'être autonome vis-à-vis de l'homme. Il ne convient pas de concevoir la place de la femme dans la société dans une perspective de remplacement d'une domination par une autre. L'équilibre doit être recherché.
Reconnaître la femme en tant qu'individu. Cela paraît la moindre des choses. Dès lors, il ne s'agit plus de vouloir homogénéiser les deux sexes, mais au contraire de cultiver leurs différences (que celles-ci soient de type culturelle ou de type naturelle.) La recherche des particularités essentielles des femmes et des hommes aboutira incontestablement à une complémentarité jusqu'à présent non atteinte parce qu'on ignorait la dualité Nature / Culture.

. Le stéréotype de la femme dans la publicité

Stéréotype : idée toute faite et sans originalité. Synonyme : cliché.

Ici nous allons étudier le stéréotype axé sur l’apparence physique de la femme.
Il fait parti de notre vie quotidienne. Que se soit dans les films, la publicité, les jouets … La femme de nos jours, est représentée comme une femme mince, bronzée, grande et avec de belles formes.

Les médias et la publicité en particulier, véhiculent des images et des valeurs qui peuvent influencer les rapports entre individus. Malgré un système de contrôle de la publicité, les atteintes a la dignité des femmes persistent, notamment à travers des stéréotypes tels qu’une femme mince. Ces représentations peuvent bloquer certaines femmes à se montrer telles quelles sont réellement. Le problème de la minceur excessive, qui peut déclencher l’anorexie chez les jeunes filles, est un facteur très présent dans les publicités de nos jours.

Beaucoup de femmes perdent confiance en elle parce que ce modèle fruit de la femme « parfaite » est impossible à atteindre.

Le stéréotype le plus connu est celui de la femme blonde, moins intelligente et plus naïve.
Comme par exemple : l’actrice Marilyn Monroe qui a su joué de cet archétype pour devenir célèbre.

A) L'image de la femme dans le courant artistique et intellectuels
B)Les stéréotypes typiques

A) Des préjugés rémontant à l'histoire servant de porte parole aux artistes féministe
B) Un conditionnement dès le plus jeune âge
C)Les femmes dans la littérature

Les artistes expriment une vision de la société et des possibles futurs à travers leur yeux observateurs, les stéréotypes sont toujours présent cependant ils ont changés, nous nous attaquerons au sujet des femmes, plus particulièrement à leur place dans la société et non pas à travers les yeux d'artistes banales mais à travers des artistes et intellectuelles féministes.

La question est telle comment peut on considérer la femme dans notre société, pourquoi dit on que la femme doit avoir une place égale à celle de l’homme dans la vie sociale, pourquoi ce sujet a t-il autant fait polémique et de quel façon ?

On pourrait se poser la question , qu’est ce qui pousse certaine femmes, qui se proclament sans question féministes, sous couvert de prétendue rigueur scientifique, des « déroutes » masculines. Au détriment de la misère et du désespoir de la majorité des femmes dans le monde. Ignorent-elles l’écrasant rapport de forces, de dominant à dominé, entre hommes et femmes ? Cette relation socio-économique qui fait des femmes la majorité des chômeurs, des smicards, des travailleurs à temps partiel (dans ce ghetto de l’emploi, 83 % de femmes), des titulaires de contrat à durée déterminée (60 %), des grandes discriminées à l’embauche, à la promotion, des absentes de la direction des grandes entreprises ? La pauvreté (80 % de femmes) et leur précarité.

L'espace ouvert par les artistes est capital quel que soit le milieu où leurs arts et leurs intellects sont utilisés.
Différentes femmes ont aidé à l'avancée du féminisme tels que Gisèle Halimi, une militante féministe et femmes politique, Elisabeth Badinter, femme de lettre et surtout connu pour ses réflexions philosophique qui interrogent le féminisme , Françoise Héritier scientifique féministe et Louise Bourgeois plasticienne issu du mouvement féministe.
Ces artistes et intellects ont toutes à leur façon véhiculer des idées et des vérités sur la place de la femme dans la société, quels sont elles ?
Nous nous demanderons alors que nous disent les femmes artistes et intellectuelles féministes sur la place des femmes dans la société ?

INTRODUCTION
Les artistes expriment une vision de la société et des possibles futurs à travers leur yeux observateurs, les stéréotypes sont toujours présent cependant ils ont changés, nous nous attaquerons au sujet des femmes, plus particulièrement à leur place dans la société et non pas à travers les yeux d'artistes banales mais à travers des artistes et intellectuelles féministes.

La question est telle comment peut on considérer la femme dans notre société, pourquoi dit on que la femme doit avoir une place égale à celle de l’homme dans la vie sociale, pourquoi ce sujet a t-il autant fait polémique et de quel façon ?

On pourrait se poser la question , qu’est ce qui pousse certaine femmes, qui se proclament sans question féministes, sous couvert de prétendue rigueur scientifique, des « déroutes » masculines. Au détriment de la misère et du désespoir de la majorité des femmes dans le monde. Ignorent-elles l’écrasant rapport de forces, de dominant à dominé, entre hommes et femmes ?

L'espace ouvert par les artistes est capital quel que soit le milieu où leurs arts et leurs intellects sont utilisés.
Différentes femmes ont aidé à l'avancée du féminisme tels que Gisèle Halimi, une militante féministe et femmes politique, Elisabeth Badinter, femme de lettre et surtout connu pour ses réflexions philosophique qui interrogent le féminisme , Françoise Héritier scientifique féministe et Louise Bourgeois plasticienne issu du mouvement féministe.
Ces artistes et intellects ont toutes à leur façon véhiculer des idées et des vérités sur la place de la femme dans la société, quels sont elles ?
Nous nous demanderons alors que nous disent les femmes artistes et intellectuelles féministes sur la place des femmes dans la société ?
Nous allons dans un premier temps énoncés les préjugés sur le fémisnisme remontant à l’histoire, servant ainsi de porte parole aux artistes et intellectes feministes .Dans un second temps nous vous présenterons à travers le cas de Françoise Héritier et Elizabeth Badinter le conditionnement de la femme dès son plus jeune âge, et nous terminerons enfin par un description analysé sur la place de la femme dans la littérature et l’art.